LE THEATRE DU VOYAGEUR
UN LIEU…
« insolite, inattendu, magique… »

PRESSE

Le Canard enchaîné
le 1er août 2012
« Sans crier gare »
Sur le quai B de la gare d'Asnières-sur-Seine,
le badaud n'a qu'à pousser une porte dérobée.
Et le voilà au Théâtre du Voyageur !

    France Culture
La Dispute
Arnaud Laporte

      interview Chantal Melior par Seham Boutata

   

France Inter
Carnets de Campagne
Philippe Bertrand

      Philippe Bertrand / Chantal Melior
http://www.theatre-du-voyageur.com/interview-fi2014.mp3

   

Le désert des déserts en gare d'Asnières. Tout devrait commencer par un voyage. Là, pour le Théâtre du Voyageur, il s’agit d’un périple de 5 minutes au départ de la gare Saint-Lazare (Paris- 8è). On trace dans la nuit par Pont Cardinet avant de traverser le fleuve, puis c’est le cynodrome et la gare d’Asnières-sur-Seine, sans quitter les voies : entre les quais B et C siège, dans un ancien entrepôt, le Théâtre du Voyageur, dirigé avec une inaltérable énergie, depuis vingt ans, par Chantal Melior. Francis MARMANDE, LE MONDE


   

Chantal Melior est restée à quai, elle fait théâtre de tout. La preuve, du hall désaffecté de la gare d’Asnières, elle a fait un endroit insolite de l’art dramatique. A découvrir. Albert LE ROUX, ASNIERES INFO

Ce spectacle invite au voyage. Un vrai, d’abord, qu’il faut effectuer de la gare Saint-Lazare à celle d’Asnières. Là, sur le quai… Oui, vous avez bien lu : quai B même exactement, un grand hangar 1900 abrite les mille et une merveilles de Chantal Melior, chef de troupe et fée. L’autre voyage que vous ferez sera historique et culturel.  Olivier PANSIERI, LES TROIS COUPS


   
Ceux qui aiment le théâtre prendront le train. L’endroit semble magique tant il semble inattendu. Chantal Melior, soucieuse de mettre le théâtre «au cœur de la ville» et «au cœur de la vie» pouvait-elle rêver meilleure implantation ? Le public s’est fidélisé, tandis que des Parisiens franchissent régulièrement le périphérique pour découvrir les nouveautés. La saison prochaine, le Théâtre du Voyageur propose un cycle Shakespeare, délocalise le «Théâtre du Globe». En attendant, elle accueille quatre fois par semaine tous ceux qui rêvent de brûler les planches…Rendez-vous à la gare d’Asnières, sur le quai ! Matthieu PELLOLI, LE PARISIEN

   

« A la découverte des nouvelles salles : la plus extraordinaire, le Théâtre du Voyageur se découvre au bout du quai B. On y voyage actuellement avec LES NOMADES, extraordinaire fresque chantée et dansée de la vie des caravaniers du désert.» Marie-Emmanuelle GALFRE, LE PARISIEN

Un train peut en cacher un autre et une gare une salle de théâtre. « Les vrais voyageurs, lorsqu’ils s’arrêtent par curiosité, ne sont pas forcément des habitués des théâtres… et un jour, ils franchissent la porte.» C’est ce qui intéresse celle qui se revendique d’un théâtre à la Jean Vilar, dans cette petite Cartoucherie de Vincennes. Pascal GRASSART, LA VIE DU RAIL


   
Cet ancien bâtiment de voyageurs semble sorti des aventures de Harry Potter : vous descendez d’un banal train de banlieue et vous vous retrouvez dans un autre monde… un petit foyer… une tenture qui s’ouvrira pour découvrir un bel espace scénique. Un lieu public abandonné et rendu à ce même public grâce à la culture : un joli tour de passe-passe. Delphine KILHOFFER, CULTUROFIL

   
« Le Théâtre du Voyageur est un endroit improbable tout au bout du quai B de la gare d’Asnières. La porte en est banale, mais ne vous y fiez pas ! Elle marque le seuil d’un monde mystérieux. Vous êtes entré. À la porte du théâtre, au sortir du train de banlieue, vous avez laissé les vieux oripeaux de la réalité, et la magie vous enroule. Divisé en deux épisodes de deux heures, ce spectacle de magie chaotique vous transporte à la frontière entre Le Globe et Le Berliner ensemble.» Lise FACCHIN, LES TROIS COUPS

   
Joie ! Le Théâtre du Voyageur retrouve enfin ses merveilleux quartiers, à peu près à la même adresse. Notez bien : quai D de la gare d’Asnières. Il lui aura fallu composer avec de longs déboires, d’infinies colères et autant de tergiversations contre le tatillonnage kafkaïen des administratifs, qui ne sont pas des marrants, pour finalement avoir gain de cause. L’affaire est résolue par un partage : le Théâtre du Voyageur rentre en possession du bâtiment amputé en partie, mais en parfait état de marche. Il faut dire que Chantal Melior, sa patronne, ne s’est jamais dégonflée, malgré quatre ans de bataille ubuesque pour récupérer son coin de quai, qu’elle partage donc désormais avec des guichets de la S.N.C.F. Elle a choisi de monter, pour fêter la réouverture de son antre magique, le Misanthrope.
Cédric Enjalbert, LES TROIS COUPS